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  • Mustapha El Anka

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    Posted By Nass El Houma Pointe Pescade
    06 Avril 2016

    Les Artistes dial El Houma

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    Interprète et comédien talentueux, Mustapha El Anka est le fils du grand maitre M’Hamed El Anka. Il est né un 6 avril.

    Né le 6 avril 1926 à la Casbah d’Alger, Mustapha est le plus âgé des enfants de Hadj M’hamed El Anka, de son vrai nom Mustapha Aït Ouarab. Il obtient son certificat d’études à l’âge de 13 ans et intègre par la suite la troupe musicale que dirige par son père pour devenir le drabki de l’orchestre.

    En 1947, il s’installe à Paris et apprend à jouer de la guitare, du banjo et de la mandoline. Il joue sur scène et chante en arabe et en kabyle des chansons sur l’exil, pour un public d’émigrés algériens.

    Douze ans plus tard, la Radio Télévision Française le recrute en tant que conseiller technique et chef de section. A ce titre, il assiste aux enregistrements des disques en arabe et en kabyle et rencontre de grands artistes tels que Mohamed Abdelwahab et Farid El Atrache.

    Touché par l’exil de son fils, Hadj M’hammed El Anka lui avait lancé un appel au retour à travers une chanson en kabyle « Izrin Yeghlev Lehmali ». Mustapha répondra à son père, par la chanson en arabe « Ya abi ya abi » qui aura un grand succès.

    On sait que durant son exil, Mustapha se marie avec une espagnole, mais, discret, on n’en sait peu sur sa vie privée. Par contre, il rejoindra à un moment la troupe du FLN et enregistrera « El Qvayel ».

    Après l’indépendance, il rentre en Algérie et rejoint le TNA tout juste nationalisé. Il devient chanteur dans l’orchestre de Haddad El-Djilali. En parallèle, il joue dans plusieurs pièces de théâtre, poussé par Mustapha Kateb. Confirmant ses dons de comédien, le fils d’El Anka essaye le cinéma en 1968 et démarre une nouvelle carrière.

    Début 1970, il rejoint la troupe du théâtre populaire algérien (TTP) dirigée par Hassan El Hassani, qui avait joué un grand rôle en rapprochant le théâtre des zones les plus reculées. Il joue aux côtés de Tayeb Abou El Hassan, Kaci Ksentini et Hamid Nemri, notamment comme garde champêtre dans « Ti goule ou ti goule pas ».

    Mustapha El Anka finit par abandonner la chanson pour se consacrer à la comédie sur le petit et le grand écran. Les plus grands réalisateurs feront appel à lui et jouera dans « Le Charbonnier » de Mohamed Bouamari, « Prends dix mille balles et casse-toi » et « Les Folles Années du twist » de Mahmoud Zemmouri, « La dernière image » de Lakhdar Hamina et bien d’autres. En tout, il jouera dans une soixantaine de films. 
    Son dernier rôle sera dans « El Ouelf saïb » de Mohamed Hilmi, sorti en 1993, et qu’il ne verra pas. Mustapha El Anka décède le 3 novembre 1993 à Alger. il est enterré au cimetière d’EI-Kettar.

    Allah yerahmou inchallah.


     

  • Salah SADAOUI

    12965967 1529562427349259 1274756860 n

    Posted By Nass El Houma Pointe Pescade
    06 Avril 2016

    Les Artistes dial El Houma

    Biographie de Salah SADAOUI 

    Le chanteur Sadaoui Salah est décédé Un mardi 10 mai 2005 à 69 ans dans un hôpital parisien suite à une longue maladie.

    Auteur, compositeur et interprète, il a aussi fait du théâtre aux côtés du    cheikh Nourredine et Kaci Tizi Ouzou.

    Célébrité de la chanson algérienne de Paris où il s’est établi en 1954, Salah Saadaoui s’est discrètement éteint le 10 mai 2005 à l’âge de 69 ans. Né en Kabylie, il grandit à Alger où il rencontre notamment Amraoui Missoum qu’il retrouvera en France où Salah Saadaoui fera toute sa carrière dans les cafés chantants de l’immigration algérienne. Auteur, compositeur, interprète et comédien à ses heures, il a longtemps géré l’un de ces restaurants où il a accueilli les premiers pas de Takfarinas ou de Rabah Asma et où trônaient les "Scopitones", ces fameux juke-box qui diffusaient l’ancêtre des vidéo clips et comptaient à leur catalogue plusieurs productions de l’artiste comme Mel Ghorba barkani, El Qmar oul Kas ou encore Ana Achqi fe Zine. 
    Après en avoir produit sous son label Saadaoui Phone, il tenait un commerce de disques dans le 18è arrondissement de Paris et vivait retiré de la scène. Il est notamment réapparu en janvier 2002, au Festival Sons d’hiver de Vitry-sur-Seine, à la faveur du concert "Les Tontons du bled", aux côtés de Kamel Hamadi, Akli Yahiatene, Sghir Boutaïba, Amar El Achab et Louiza. Salah Saadaoui qui chantait en arabe et en kabyle (Ya Aami Slimane), laisse un grand nombre d’enregistrements.

    Un grand artiste tire sa révérence

    L’artiste polyvalent Salah Saâdaoui s’est éteint dans un hôpital parisien à l’âge de 69 ans des suites d’une longue maladie. Il part en laissant derrière lui un riche répertoire en arabe dialectal et en tamazight,Salah Saâdaoui, très connu au sein de l’émigration, demeure presque méconnu dans son pays. A vrai dire, Salah Saâdaoui est un peu le dernier des Mohicans de la chanson de Houzia». Il est de la même trempe que Dahmane El Harrachi ou Akli Yahiatène.  un jour qu’il avait failli perdre la vie au même endroit où Dahmane El Harrachi a eu son accident qui lui a coûté la vie. Une étonnante coïncidence !Salah Saâdaoui possède un riche répertoire de chansons dont les thèmes sont divers. Il possède aussi plusieurs sketches audio avec Cheikh Noureddine et Kaci Tizi Ouzou. Salah, pour ceux qui ne le connaissent pas, était issu d’une famille d’artistes. Frère de Hamou, comédien professionnel et marionnettiste, il a fait partie de l’équipe artistique du FLN durant la guerre de Libération. Sa mère était poétesse et Salah en a hérité le don de la poésie. Salah a abordé plusieurs sujets, du social au comique, tels que Yechrak yitij yuli ouas, Thadhaoua thafath afmaden irkouli, Koul oumek youfa el venas ou meskar ou melili. Il a aussi abordé la situation des émigrés maghrébins et leurs problèmes. En parlant de leur exil et de leur aliénation par les jeux de hasard et autres machines à sous, il dira : «Loqmar oulkas lâareb âabdinhoum yanas», allusion à ceux qui occupent leurs heures de repos dans les bistros, en s’adonnant à la boisson et au poker, y laissant le plus souvent leurs maigres salaires… Il a aussi chanté l’aliénation des jeunes issus de l’émigration : «Kocain nefanefa ili chemha yeomen latelt el khali la habib la ouali yamchi âaryan blafard».A vrai dire, toutes les K7 de Salah, dont le nombre est indéterminé, sont pratiquement en vente chez certains disquaires. Les médias ne l’ont jamais abordé de son vivant, même quand il était sur son lit d’hôpital. Enfin, c’est le sort de pas mal de grands artistes de talent qui meurent en exil. Une de ses chansons anciennes disait ceci : «A rebi ketch del qaoui âajled sedouaoui tharouihth bezaf ath dhâa thakhlaqdhid dhahouaoui arayiou del meroui anchoïade ourn qatâa mathhazridh ouléma aloui almouth akhir nan dharma oula coulas dhasadhmâa». Enfin Salah Saâdaoui allait même enregistrer Mohamed prend ta valise de Kateb Yacine en K7 audio en 1984. L’enregistrement a été effectué au Théâtre de Bel Abbès avec les comédiens. Malheureusement, le projet n’a pas vu le jour et les bandes sont toujours chez lui.Salah, de son vivant, a essayé par tous les moyens de transmettre son message par la chanson ou le sketch. Il possédait une boutique à Stalingrad où il vendait des K7 et des instruments de musique. Lui-même jouait sur scène de la derbouka, tout en chantant. Puis il a appris à jouer du luth tardivement.De toutes les façons, Salah a aidé la majorité des artistes en difficulté sur le plan artistique et matériel.

      
                                          

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    Rahou Beni Oui Oui +  Dak khouya ch'hal yrouli

  • Yahia Benmabrouk

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    Posted By Nass El Houma Pointe Pescade
    04 Avril 2016
     

    Yahia Benmabrouk

    Né un 30 mars 1928 – Yahia Benmabrouk, dit « l’apprenti »
    Le plus connu de ses rôles sur le petit et le grand écran, lui collera à la peau une bonne partie de sa carrière, le comédien Yahia Benmabrouk, dit « l’apprenti » est né le 30 mars 1928 à Alger.
    Jeune, Yahia Benmabrouk partageait son temps entre les Scouts Musulmans et le football au MCA d’Alger. Et dans les années 40, par le pur des hasards, il se retrouve sur les planches du théâtre pour remplacer un comédien malade. Il se prend très vite au jeu et donne la réplique à de jeunes acteurs talentueux dont les noms deviendront bien célèbres, tels que Sid-Ali Kouiret, Rouiched, M’Guellati…
    Ils seront tous regroupés dans la troupe El Masrah El Djazaïri et seront dirigés par Mustapha Kateb.
    En 1956, Yahia Ben Mabrouk est la cible d’un attentat commis par des pieds noirs extrémistes, il est contraint de quitter les planches quelques temps. Vers la fin de 1957, il reprend le théâtre, en exil cette fois-ci, dans les villes françaises à forte concentration d’algériens émigrés. Mais quelques semaines plus tard, le FLN le réclame à Tunis pour former une troupe aux côtés de Mohamed Bouzidi H’ssissen, Boualem Rais, Sid Ali Kouiret, Saâdaoui… L’objectif : faire la voix et le théâtre de l’Algérie dans le monde.
    Il rentre à Alger après l’indépendance et fait partie des éléments qui constituent le Théâtre National Algérien (TNA)
    Sa carrière prend une autre tournure en 1967 lors de la naissance du duo explosif avec le regretté Hadj Abderrahmane, l’apprenti et l’inspecteur Tahar, dans « L’Inspecteur Tahar mène l’enquête », suivis de « La souris » (1968)… jusqu’aux célèbres « Vacances de l’Inspecteur Tahar » (1973), qui marque la consécration pour les deux comédiens. Le film sera à l’affiche pendant plusieurs mois et son succès en a fait l’un des grands classiques du cinéma algérien.
    Yahia Benmabrouk jouera encore dans « Chronique des années de braise » (1975) et « L’inspecteur marque le but » (1977) et plus tard, un dernier coup d’éclat dans « Le Clandestin » (1989), alors qu’il avait plongé dans une dépression, suite à la mort de son grand complice Hadj Abderrahmane, le 5 octobre 1981.
    Yahia Benmabrouk gardera ses distances avec le cinéma et mourra le 9 octobre 2004 à la suite d’une longue maladie.

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  • Mohamed abdenour (Petit-Moh)

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    Posted By Nass El Houma Pointe Pescade
    04 Avril 2016

    ( pour moi, ma culture passe avant tout. Le chaâbi, c’est ma source d’inspiration et c’est une musique qui me parle)

    Mohamed Abdennour, alias Ptit Moh, excellent auteur compositeur et interprète, "bras droit" de grands maîtres du chaâbi Ptit Moh,  Compositeur et arrangeur de talent, Ptit Moh qui a commencé la musique aux côtés du maître Amar Ezzahi, J’ai appris avec Amar Zahi qui est pour moi une référence. Il m’a enseigné la façon de jouer avec précision,La première fois que j’ai joué avec lui, j’avais 17 ans. J’étais fan d’Amar Ezzahi depuis mon jeune âge. J’étais très jeune lorsque mon père (Allah yerahmou) m’a emmené dans une fête de mariage à La Casbah, animée par Amar Ezzahi. À l’époque, j’avais 12 ans, et c’est comme ça que je suis devenu fan de ce grand monsieur, qui est, pour moi, une icône, un grand maître, et une référence, pour moi, dans la musique algérienne. Dans le chaâbi, pour moi, c’est la référence, parce que je l’ai côtoyé, j’ai passé beaucoup de temps avec lui, et je voyais son niveau. Et avec du recul maintenant, je considère que c’est une personnalité hors norme. Pour ce qui est de ma rencontre avec lui, c’est grâce à ammi Madjid qu’on appelle Tino parce qu’il était beau. gosse et avait l’allure d’un Italien. Ammi Madjid Tino me voyait toujours dans le quartier avec une guitare. Il a écouté et aimé ce que je faisais. Un soir, il m’a dit : il faut que je te présente quelqu’un. Lorsqu’il m’a annoncé que c’était Amar Ezzahi, j’avais du mal à croire mes oreilles, et lui ai dit que j’étais un grand fan. Je me rappellerai toujours de la date de ma première rencontre avec lui. C’était le 2 juin 1983, le mariage de Mourad Ferguène, l’ancien boxeur. C’était la première fois que j’ai rencontré Ezzahi. Je suis monté sur scène en tremblant. Il m’a demandé de m’asseoir à ses côtés. Je tremblais tellement que j’avais le trac. Mais ce n’est que deux ans plus tard, à l’âge de 19 ans, que j’ai commencé à travailler avec lui. Plus tard, lorsqu’il m’a sollicité pour jouer avec lui, il m’a raconté qu’il avait un peu peur pour moi parce que je n’avais même pas 17 ans, j’étais jeune et tout maigrichon, alors que lui travaillait toute la semaine et avait peur que je ne tienne pas le rythme. J’ai travaillé une seule autre fois, un an après la première rencontre. J’ai effectivement commencé avec lui à l’âge de 19 ans, jusqu’à mes 26 ans, jusqu’à ce qu’on s’arrête, après tout ce qu’il y a eu dans le pays. Le travail s’est arrêté, avec tout ce qui se passait, on ne pouvait pas exercer notre métier. Deux ans après, j’ai fait mes bagages et je suis parti, parce que je me suis dit que j’aimais la musique et que je ne pouvais pas rester sans travail. J’ai alors préféré partir. C’est mon histoire avec Ezzahi, avec lequel j’ai appris beaucoup de choses. la rigueur dans le travail est nécessaire. On ne doit pas faire n’importe quoi sur scène, la musique a ses règles,Je tente de donner un nouveau souffle au chaâbi, des couleurs du temps présent. Il n’est plus possible de jouer un qcid pendant une heure.la musique se vit, se ressent et surtout se travaille 

     il donne une nouvelle image, très moderne, Ptit Moh, installé en France depuis 1994 est un enfant de la pointe pescade actuellement rais hamidou un gars toujours souriant fils de l'ancien Boxeur Mohamed abdenour et ex entraineur national l’un des initiateurs de la Boxe en Algérie. il fonda la section du Mouloudia (Boxe) et devint "Maître Abdenour" avec son écurie prodigieuse qui forma quelques champions (d'Algérie et même de France) parmi eux on peut citer le champion du monde poid coq Alphonse Halimi.
     

    Bonne Continuation Mohamed

     

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  • Abderahmane Ikariouen Hmanou

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    Posted By Nass El Houma Pointe Pescade

    27 Mars 2016

     Un Artiste ( Un Pointu )

    Un Grand Homme trés souriant ecoutant les autres rien a dire Khoya abderahmane .

    Allah yehefdek 

    Abderahmane Ikariouene ( H'Manou )

     

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    Montserrat d Emmanuel Robles theatrale montee par la cooperative port Said de Aouadi mise en scene Djamel Garmi

     

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          ELFALTA de BADI MOHAMED cooperative port said Mohamed Laouadi    

     

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    Manou Ika , dans le roi de l ouest ,Palestine trahie,Mohamed prend ta valise,la guerre de 2000ans, la voix des femmes de Kateb Yacine

     

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    3ami Hassen Elhassani ,Mustapha Ennedjar ,Kamal Kerbouz Ellah yerhemhoum Rachid Ouali et moi dans si Belguacem el bourgeoisie de Moliere

     

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    L'Anglais dans Palestine trahie de Kateb Yacine 1976

     

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    Tous Droits Reservées.

     

  • La reproduction du scénario de blida évitée de justesse: 4 conteneurs de viande avariée saisis à Boumerdès

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    Posted By Nass El Houma Pointe Pescade

    24/August/2016

    L'Admin du Site

    La reproduction du scénario de blida évitée de justesse: 4 conteneurs de viande avariée saisis à Boumerdès

     

    Le nombre de cas d’intoxication ne cesse d’augmenter d’un jour à l’autre, faute d’hygiène et de respect des conditions de conservation des produits alimentaires.

    Des conteneurs de viande avariée saisis par la direction du commerce dans la wilaya de Boumerdès, lors de l’opération d’intervention effectuée, hier, par ses agents dans les locaux de la société italienne Inalca-Algérie spécialisée dans l’agroalimentaire.

     

    Cette entreprise comptait approvisionner le marché avec deux conteneurs de viande avariée et deux autres de poissons congelés. Les services du commerce l’ont obligée à détruire ses produits.
    La vigilance des services du Commerce de la wilaya de Boumerdès qui accomplissent leur mission, a pu éviter la catastrophe. L’entreprise a exposé la vie des consommateurs au danger, le ministère du Commerce doit sévir et prendre les mesures coercitives pour éviter la reproduction d’un tel scénario.
    La viande avariée est l’une des causes majeures de l’intoxication dont le nombre de cas a pris de l’ampleur ces derniers temps notamment durant la période estivale.

    Exemple: 24 cas d’intoxication alimentaire collective ont été recensés durant les cinq derniers mois de l’année en cours dans la wilaya d’Ouargla, après consommation de denrées alimentaires, et de la viande avariée, dont les conditions et normes de conservation sont à l’origine de l’intoxication, selon le service de la prévention de la direction de la santé.

    Ces cas d’intoxications alimentaires ont été signalés durant la période allant du mois d’avril au mois d’août 2016, au niveau des communes de Hassi-Messaoud, 10 cas, N’Gousa, sept cas, et celle de Nezla, sept cas, où ils ont été enregistrés.
    Les personnes victimes de toxi-infections ont toutes été prises en charge par les établissements hospitaliers de la wilaya, et aucun cas de décès n’a été déploré, a-t-on ajouté. Pour rappel, pas moins de 299 cas d’intoxication alimentaire collective ont été enregistrés en 2015 dans la wilaya d’Ouargla.
    Le plus important nombre de cas, 216, a été recensé au niveau des bases de vie relevant des entreprises pétrolières activant à Hassi-Messaoud, lesquels sont dus notamment au non-respect des règles d’hygiène concernant la conservation des denrées alimentaires.

    Les autres cas d’intoxication dont le nombre est de 83 ont été signalés à Ouargla et Touggourt, lors des fêtes de mariages collectifs organisées à travers ces régions durant l’été.
    Le scénario de Blida a été évité de justesse, ce jour du 12 août dernier, près de 700 cas d’intoxication, suite, à la consommation de petit-lait provenant d’une crémerie de la commune de Guerrouaou à 6 km du centre-ville de la wilaya de Blida.
    Depuis le début de l’année, de nombreux foyers d’intoxication alimentaire ont été identifiés.
    Selon le bilan du ministère de la Santé 1100 cas d’intoxication ont été enregistrés entre le 1er janvier et le 31 mai 2016, un bilan qui s’est alourdi par le nombre de cas enregistré ces derniers temps qui pourrait atteindre les 1500 cas jusqu’à aujourd’hui.

  • La petite bibliothèque de l’été 2016 (III) « Va lire, mon enfant! » 

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    Posted By Nass El Houma Pointe Pescade

    24/August/2016

    L'Admin du Site 

     

    La petite bibliothèque de l’été 2016 (III) « Va lire, mon enfant! » 

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    jadis, c’était le seul cri essentiel que les parents clairvoyants lançaient à leurs enfants qui passaient leur temps à des futilités au lieu de s’instruire, – ce qui les éloignerait des maux de l’Etat colonial et les aiderait ainsi à lutter contre l’analphabétisme, l’ignorance et la soumission…

    Cette insouciance de la jeunesse, en ce temps-là, pouvait devenir inquiétante, car l’analphabétisme, l’inculture, l’oisiveté, l’inaction, l’irréflexion affaiblissent l’intelligence humaine, – ce qui éloignerait toute une génération montante des maux du système colonial et ne l’aiderait pas ainsi à prendre conscience de son état présent et à concevoir le projet d’une espérance future de libération.

    Ici, vient naturellement à l’esprit la pensée de Voltaire; «Le travail éloigne de nous trois grands maux: l’ennui, le vice et le besoin.» Cela suppose que la lecture était courante en France au fameux «Siècle des Lumières» et l’on peut, a contrario, comprendre aussi la citation suivante: «Personne ne lit plus, aujourd’hui, sauf ceux qui écrivent.» Elle est de l’Académicien Henry Bordeaux (1870-1963), rapportée par Léon Treich (1889-1973) dans son article Histoires littéraires. (Voir Collection d’anas, numéro XIII, paru le 01.05.1926, chez Gallimard, Paris.
    Il y a eu donc une jeunesse algérienne progressivement formée par des lectures et des discours politiques, culturels et artistiques qui éveillent l’esprit et la conscience… Ainsi, doit-on dire que la génération combattante était éduquée et instruite pour lutter résolument, coûte que coûte, contre l’armée coloniale française et libérer le territoire national algérien.

    Tout en espérant vivement que nos jeunes s’intéressent au Livre Algérien, je leur propose des extraits d’ouvrages présentés dans Le Temps de lire de la saison 2015-2016:
    «au temps des grands empires maghrÉbins» de Fatma-Zohra Oufiha, CHIHAB Éditions, Alger, 2015, 280 pages: «La décolonisation de l’histoire de l’Algérie. voilà une problématique qui est au fond très simple, sauf si l’on continue à être adepte du jugement des historiens imbus de l’esprit colonial extrême.[…] Au temps des grands empires maghrébins est un travail universitaire qui pourrait répondre à une forte «demande d’histoire». Il réunit une série de contributions (articles, causeries, conférences) restructurées pour l’édition d’un ouvrage aux thèmes complémentaires capables de réconcilier les Algériens avec leur Histoire, – ou plutôt de les sensibiliser à leur passé historique en essayant de leur faire découvrir leur Histoire. Or connaître son histoire, c’est se connaître soi-même. Fin de hiatus, renforcement de maillons faibles dans la chaîne des souvenirs, et c’est s’assurer définitivement des fondements des origines de notre propre personnalité individuelle et nationale. Â l’origine qui étions-nous? Comment s’est constitué le peuple… algérien?

    L’histoire permet de réfléchir à cette problématique de la connaissance historique de soi. L’histoire est la mémoire des peuples. Interrogeons donc notre Histoire. Fatma-Zohra Oufriha, très jeune formée au goût de la recherche et parfaitement instruite dans les domaines scientifiques et littéraires a abordé avec succès son introduction dans l’histoire des empires maghrébins. Elle les aborde avec un étonnant naturel et une perspicacité intensément intellectuelle, exigeant à la fois une pleine objectivité et une fine analyse afin de percevoir l’âme authentique du fait historique. […]

    Cette restructuration que j’ai évoquée plus haut, l’auteur du présent ouvrage l’expose ainsi telle «une gageure», – ce vocable est de Djillali Sari, son préfacier»: «Si l’écriture de l’histoire récente, celle de notre guerre d’indépendance, celle de la période coloniale aussi, est capitale, il nous semble que la longue période, n’a pas la place qu’elle mérite.» En somme, cette «longue période gagnerait à être éclairée» et constituerait le fondement de toute action vers la grande découverte de nous-mêmes. Notre histoire présente vient d’un riche passé historique, et spécialement des grands empires maghrébins que «l’amnésie collective» a refoulée loin, très loin dans le grenier du passé, legs non assumé par les générations des siècles et des siècles perdus dans la nuit des temps. Dans une introduction de plus de 32 pages pleines et denses en étude et analyse, F-Z. Oufriha transcende l’esprit curieux d’apprendre son passé, car l’Algérien a été radicalement empêché sourdement de connaître son riche héritage, et le peu d’intérêt – pour des raisons diverses et parfois d’ordre matériel ou administratif – que nos historiens semblent accorder au Moyen Âge musulman et tout spécialement à l’époque des grands empires, aggrave le déficit en savoir général de la vie d’un peuple et de sa constitution. […] Fatma-Zohra Oufriha oriente, à raison, ses lecteurs vers cette juste remarque l’attitude inégale de l’État espagnol envers les communautés vivant sur ses terres: les descendants des juifs sépharades et les musulmans. «On a là, conclut l’auteur, l’exemple parfait de ce que l’on inflige encore aux musulmans, même quand ils peuvent être considérés comme des modèles, à tout point de vue, et du traitement discriminatoire et blessant à leur égard.»

    «BEÏT EL QACÎD (LE FIN MOT)» de Rabah Haouchine, Publication de l’AARLA-Casbah, Alger, 2015, 81 pages: «Une demande à ma conscience… […]…car elle est ni une maladie, ni une poltronne, ni même un insigne orgueil; elle est la consolation des désenchantements de la vie. […] Il me vient par ce temps qui court, une réflexion d’André Malraux, à propos de la notion de «conscience»: «La conscience grecque du monde était niée par le chrétien parce qu’il en avait une autre; toutes les consciences du passé sont interrogées par nous parce que nous n’en avons pas.» Étonnant, n’est-ce pas?… Sans doute, faut-il replacer ça dans son contexte, – néanmoins, une vérité première s’y élève. Plus simplement, Mahatma Gandhi disait: «La vie sans religion est une vie sans principe et une vie sans principe est comme un bateau sans gouvernail.» Encore plus simplement, plus modestement, se fondant sur le bon sens paysan – et sur la poésie populaire -, Rabah Haouchine publie une plaquette de poèmes en arabe parlé algérien, la langue pure de tous les jours, sous le titre évocateur et spirituel: Beït el qacîd (*), (Le fin mot), préfacé élégamment par Lounis Aït Aoudia, président de la dynamique et culturelle Association des Amis de la rampe Louni Arezki (Casbah-Alger). Cette publication sympathique mérite l’attention de mes lecteurs, car l’exposé est clair, l’intention aimable et le propos poétique bienvenu. […]

    Rabah Haouchine nous propose un recueil de poèmes populaires, florilège de ses envies et de ses essais. Il n’y a aucune prétention, mais un bonheur simple et émouvant qui nous saisit. Il nous est offert par quelqu’un qui a en lui une douceur de rêver et de dire son rêve, en toute sympathie, sans grandiloquence, – avec joie. Il explique que «le recueil de poésie Beït el Qacîd (Le fin mot) est composé de plusieurs thèmes quasiment du registre de la chanson chaâbie. Certains textes peuvent être considérés comme qacîdâte de par leur dimension ou leur structure, tandis que d’autres sont considérés comme chansons (Mechmoum dans le langage chaabi), et enfin des chansonnettes qui sont de petits textes.» […]

    Voici, traduit par Rabah Haouchine, un extrait de son long poème faisant l’éloge de la lecture. Intitulé «Ouvre un livre et lis», je pense qu’il «élève l’esprit», «ouvre une porte sur un monde enchanté», aide à comprendre ce que sont les autres et à comprendre ce que nous sommes.
    «Quand tu ouvres un livre, tu contemples et tu lis / Tu ne ressens plus jamais ni faim ni mépris / Tu découvres des merveilles et tu te dis / Que le savoir n’a de limites qu’à l’infini / Tu le dégustes dans une coupe plein remplie / Pour arroser le cerveau qui pense et réfléchit / Tu en recherches le sens tu comprends et saisis / Entre les lignes sur une feuille, à la lueur d’une bougie. /
    Le savoir et la science cultivent la pensée / Pour découvrir l’univers à travers leur fenêtre / Suivre l’histoire des nations très civilisées / Auxquelles tu te compares pour mieux te connaître / La légende des grands hommes qui bâtissent la paix / Contre les dictateurs qui se prennent pour les maîtres / Ceux qui pour la culture ont révolutionné / Des générations entières, assurant leur bien-être /
    Tu découvres les créatures de Dieu Tout-Puissant / Le ciel, la terre, l’air, la mer et tout l’univers / Ce qu’il a créé chez l’homme cet être pensant / Ce que contient son corps et tous ses mystères / Ce qui pousse sur terre, chaque année, chaque saison / Ce qui naît à l’ombre ou sous la lumière / Le soleil et la lune qui règlent le temps / Le secret des planètes, de Mars à Jupiter./…[…] Accompagne-toi d’un livre comme meilleur ami / Tu vivras dans le bonheur et tu seras comblé.»
    Maintenant, une conscience s’éveille aux constantes essentielles à l’intérêt de lire pour nos enfants, pour nous tous. Il n’y a pas d’inaptitude à la lecture, il y a absence de formateurs à la lecture. Un peuple qui ne lit pas, dit cette vérité universelle, est un peuple sans avenir. L’école – et sa bibliothèque, s’il en existe – peut-elle donner à nos enfants le goût de la lecture? Oui?… Allons-y donc!

  • ما معنى الفساد السياسي؟

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    Posted By Nass El Houma Pointe Pescade

    24/August/2016

    L'Admin du Site Web

    ما معنى الفساد السياسي؟

    سأل طفل والده : ما معنى الفساد السياسي؟

    فأجابه لن أخبرك يا بني لأنه صعب عليك فى هذه السن لكن دعني أقرب لك الموضوع

    أنا أصرف على البيت فلتطلق عليّ اسم الرأسمالية

    و أمك تنظم شؤون البيت فلتطلق عليها اسم الحكومة

    و أنت تحت تصرفها فلتطلق على نفسك اسم الشعب

    و أخوك الصغير هو أملنا فلتطلق عليه اسم المستقبل

    و الخادمة التى عندنا تعيش من ورائنا فلتطلق عليها اسم القوى الكادحة

    اذهب يا بني و فكر عساك تصل إلى نتيجة ….

    و في الليل لم يستطع الطفل أن ينام فقام من فراشه قلقا فسمع أخيه الصغير يبكي فذهب إليه فوجده بدون حفاضة …….

    ذهب ليخبر أمه فوجدها غارقة فى النوم وتعجب أن والده ليس بجوارها

    ذهب يبحث عن أبيه في أرجاء الشقة فسمع صوته يضحك فى غرفة الخادمة ……… فعاد إلى فراشه تائها

    في الصباح قال الطفل لأبيه :

    يا أبي قد عرفت معنى الفساد السياسي .

    فقال الوالد و ماذا عرفت ؟

    قال الولد : عندما تلهو الرأسمالية بالقوى الكادحة و تكون الحكومة نائمة فى سبات عميق يعيش الشعب تائها قلقا مهملا تماما ويصبح المستقبل غارقا فى القذار

     

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